Altitude : de 400  à 546 m
Superficie : 341 Ha
Intercommunalité : Loire Forez
Population : 596 Habitants
Gentilé : Thomassien (ne)

 
  








 

Dans les temps anciens, la commune se situait entre l'importante station thermale Gallo-romaine de Moingt et l'agglomération Gauloise  puis Gallo-romaine de Chézieu (commune de Saint-Romain-Le-Puy).
Dénommée initialement Saint-Thomas-En-Forez, l'époque médiévale voit apparaître sur le territoire communal, un prieuré de nonnes (an 1206), d'où la nouvelle appellation de Saint-Thomas-Les-Nonnains.

 
On y construit également sur un monticule basaltique une maison forte située au lieu-dit  La-Garde, s'en suit le nom définitif quelques siècles plus tard de Saint-Thomas-La-Garde. Ces deux édifices subissent au fil des années d'importantes modifications, mais demeurent les éléments majeurs du patrimoine de la commune.
A partir d'un bourg se développant autour de l'ensemble prieural, le village regroupe également des hameaux plus ou moins importants comme les Alliés, les Mondons, les Valentins et le Montcel.

Aujourd'hui, le territoire communal, de supercifie modeste, s'étend des bords de la plaine du Forez à la zone de Piémont des Monts du Forez. Etendue sur 341 hectares, limitée par les communes de Lézigneux, St-Georges-Hauteville, St-Romain-Le-Puy et Montbrison Moingt, l'espace communal demeure essentiellement agricole avec un volet viticole qui a malheureusement disparu. Bien qu'il ne subsiste aujourd'hui que de modestes parcelles exploitées, l'appellation AOC Côtes du Forez perdure.

La commune devenant progressivement péri-urbaine et résidentielle, connaît un fort développement démographique dans les années 1980-1990. En effet sa population passe de 275 habitants à 600 habitants environ.On peut penser que l'application des nouvelles règles d'urbanisme, n'engendrera pas d'évolution démographique notoire dans le futur.

Saint-Thomas-La-Garde fait également partie de la Communauté d'Agglomération Loire-Forez.